Sophie Gourion’s Post

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👩👩🌾 👩🍳 👩🔧 👩🎓 👩💻 Les femmes ont une probabilité de changer de métier 𝟲 𝗳𝗼𝗶𝘀 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿𝗲 𝗮̀ 𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀.  🤔 𝘔𝘢𝘪𝘴 𝘦𝘴𝘵-𝘤𝘦 𝘱𝘢𝘳 𝘤𝘩𝘰𝘪𝘹 𝘰𝘶 𝘥𝘦́𝘱𝘪𝘵? 👉 Voici ce qui peut expliquer cette tendance : 💼 𝗦𝗼𝘂𝘀-𝗲𝗺𝗽𝗹𝗼𝗶 𝗲𝘁 𝗼𝗽𝗽𝗼𝗿𝘁𝘂𝗻𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 : ➡️Le sous-emploi chez les femmes peut les pousser à chercher de nouvelles opportunités de travail et elles sont davantage concernées par la précarité. En effet, 80% des emplois à temps partiel sont occupés par des femmes.   ➡️En raison de la répartition inégale des tâches au sein du couple, les femmes attachent également plus d’importance à l'équilibre entre vie professionnelle et vie familiale. Elles sont prêtes à changer de métier si cela leur permet de se rendre plus disponible. Parmi les parents qui ont déjà eu un emploi, 31 % des mères n'occupaient pas un emploi à temps complet pour des raisons liées aux enfants au moment de l'enquête, contre seulement 5 % des pères. 🤸♀️ 𝗠𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗰𝗵𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲 𝗰𝗵𝗲𝘇 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲𝘀 : ➡️ Chez les femmes cadres, la mobilité professionnelle est souvent un choix délibéré. Elles souhaitent évoluer au sein de leur entreprise, changer de domaine ou même se reconvertir. ➡️Les raisons qui les motivent sont similaires à celles exprimées par les hommes : besoin de sens dans leur travail, envie de décélérer ou de trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. 🤹♀️ 𝗖𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗱𝗼𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 : ➡️Les femmes ont une probabilité + élevée de changer de métier soit par le désir d’acquérir de nouvelles compétences ou de répondre à des besoins du marché du travail. ➡️Les jeunes diplômées, notamment les bachelières et les titulaires d’un Bac+2, sont + mobiles. 🌍 𝗚𝗲́𝗼𝗴𝗿𝗮𝗽𝗵𝗶𝗲 𝗲𝘁 𝘀𝗶𝗲̀𝗴𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘂𝘅 : ➡️En région parisienne, la densité d’emplois et la diversité des employeurs, notamment des sièges sociaux, favorisent la mobilité professionnelle. Les femmes sont plus enclines à changer de métier dans ces zones. 🤰 𝗦𝗶𝘁𝘂𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗶𝗮𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗮𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝗺𝗽𝗹𝗼𝗶 : ➡️ Pour les femmes, la probabilité de changer de métier n’est pas significativement modifiée au 1er ou au 2ème enfant, mais elle augmente à partir du 3ème. ➡️ Le changement de métier est plus fréquent pour les emplois les plus précaires (intérim, CDD). Les fonctionnaires changent ainsi 4x moins souvent de métier que les salarié.e.s du secteur privé. 👩🦰 👩 Et vous Mesdames, combien de fois avez-vous changé de métier depuis le début de votre vie pro? 😊 Dites moi tout! 𝘚𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦s : 𝘩𝘵𝘵𝘱𝘴://𝘥𝘢𝘳𝘦𝘴.𝘵𝘳𝘢𝘷𝘢𝘪𝘭-𝘦𝘮𝘱𝘭𝘰𝘪.𝘨𝘰𝘶𝘷.𝘧𝘳/𝘴𝘪𝘵𝘦𝘴/𝘥𝘦𝘧𝘢𝘶𝘭𝘵/𝘧𝘪𝘭𝘦𝘴/𝘱𝘥𝘧/𝟤𝟢𝟣𝟪-𝟢𝟦𝟫𝘷𝟤.𝘱𝘥𝘧 https://lnkd.in/eH8p2kCg

Vous vous renseignez sur la façon dont sont élevées les poules dont vous mangez les oeufs et vous avez raison. Mais vous êtes-vous déjà demandé comment étaient traitées les consultantes qui vous accompagnaient en bilan de compétences ? Après 3 ans dans ce domaine, je me suis rendu compte que beaucoup n'en n'avaient pas la moindre idée. Pourtant, même si le métier est passionnant et que cette expérience m’a apporté énormément, la situation est loin d’être rose. Décryptage en 5 points. 1️⃣ Statut précaire : la plupart des consultantes sont auto-entrepreneuses. Même si elles figurent sur le site du cabinet avec qui vous avez contracté et qu’elles vous écrivent depuis un mail au nom de celui-ci. On est d’accord, on frôle le salariat déguisé mais sur ce point, tous les cabinets font de même. Conséquence : si vous tombez malades, vous n’avez le droit à rien. Idem si le cabinet décide de mettre fin à votre contrat du jour au lendemain. 2️⃣ Clauses abusives : après avoir été démarchée et avoir postulé dans d’autres cabinets, j’ai pu découvrir les conditions imposées par certains d’entre eux. Exemple : devoir payer 2500€ de droits d’entrée, être sous contrat d’exclusivité ou d’astreinte certains soirs et samedis. Certains vous forment à leurs méthodes (même si vous étiez diplômée avec + de 10 ans d’expérience) et vous demandent ensuite 6000€ de dédit de formation si vous décidez de rompre le contrat de sous-traitance 3️⃣ Revenus modestes : en tant que consultante, vous ne touchez qu’une infime partie de ce que facture le cabinet alors que c’est vous qui êtes en contact direct avec la cliente et que sa satisfaction ne dépend presque que de vous. Dans mon cas je ne touchais que 30% au total, sans compter les cotisations sociales à 25%, donc plus grand-chose à la fin. Il faut également noter que vous n’encaisserez rien les 6 premiers mois d’activité : un bilan dure en moyenne 4 mois auxquels il faut rajouter 2 mois de délai de paiement du cabinet. 4️⃣ Rythme effréné : l’accompagnement est un métier qui demande beaucoup d’énergie et de force mentale. Les personnes accompagnées sont souvent en situation de fragilité et vous voient comme la sauveuse. Pour survivre, vous devez malgré tout multiplier les bilans et cela vire parfois à l’abattage. Le burn-out n’est jamais loin 5️⃣ Clientes exigeantes : dans une logique consumériste, beaucoup ont des attentes disproportionnées ou veulent des résultats immédiats L'idée n'est pas de diaboliser toute une profession. Le métier de consultante en bilan de compétences peut être être exercé dans de bonnes conditions financières et psychiques, notamment lorsque l'on monte sa propre structure sans dépendre de cabinets extérieurs. En effet, la sous-traitance peut être une bonne façon de débuter mais ne doit pas être une fin en soi.

Petite, je voulais être concierge. Tout le monde sourit quand je raconte cette anecdote et pourtant c’est très cohérent. A l’époque, j’avais justifié ce choix à ma mère en expliquant que j’adorerais passer ma vie en chaussons et apporter de bonnes nouvelles aux gens (ce à quoi elle m’a répondu que j’apporterais plus souvent des déclarations d’impôt que d’amour et ma vocation s’est arrêtée là). Aujourd’hui, je retrouve ces 2 caractéristiques dans ce qui répond à mes besoins au travail. Être en sécurité, émotionnelle et financière (c’est pourquoi je me sens si bien dans la fonction publique) et apporter de la joie aux personnes avec qui je travaille (c’est ambitieux et peut-être que je ne réussis pas mais en tout cas c’est ce qui me fait lever le matin 😊). En bilan de compétences, j’adorais demander : « Quel métier vouliez-vous faire quand vous étiez petite ? » car cela disait beaucoup de la personne que j’avais en face de moi. Souvent elle me répondait « C’est idiot mais je voulais être… » ou me citait un premier métier un peu classique (maîtresse d’école par ex) pour ensuite se raviser en en évoquant un autre plus original oublié depuis (astronaute, médecin légiste, archéologue, pompier…). Aujourd’hui beaucoup rient des métiers qu’ils voulaient exercer petits : « Je voulais être pompière, c’est mignon hein mais je suis finalement devenue analyste financière » m’expliquait un jour une cliente. Ce à quoi j’ai répondu : « Je suis sûre qu’elle est encore en vous cette pompière aujourd’hui. Qu’en pensez-vous ? ». En y réfléchissant, elle m’a confié aimer travailler dans l’urgence « quand il y a le feu » et ça l’a fait rire. Vos métiers rêvés disent plein de choses de vous et n’ont pas la même signification pour tout le monde. On peut avoir voulu être pompier pour le goût du risque, ou pour ne pas travailler dans un bureau. On peut avoir souhaité exercer ce métier car on aime aider les autres ou parce qu’on fuit la routine. Cela peut être également en raison du prestige et de l’uniforme. Il n’y a pas une raison identique pour tout le monde. C’est pour cela qu’il est important de se demander ce que représente son métier d’enfant et comment il s’exprime dans sa vie aujourd’hui. Et vous, qu’est ce que vous vouliez faire lorsque vous étiez enfant ? PS : Merci à mon oncle Guy d’avoir su capturer ce moment de mon enfance. Je ne sais pas exactement si j’étais punie au coin ou si j’écoutais aux portes 😊

💪 Il y a des projets qui donnent envie de se lever le matin et Les Cuistots Migrateurs font partie de ceux-là! 👩🍳 👨🍳 J'ai eu le plaisir de visiter leurs nouveaux locaux, où il fait bon vivre et se former, en présence de François Hollande, de Patrice Bessac et aux côtés de Mélissa Youssouf et Mathieu ALESI. 🤗 C'est une vraie satisfaction de voir les actions que nous finançons incarnées avec tant de conviction et d'impact! Les stagiaires rencontré.e.s nous ont tous.tes fait part de leurs trajectoires incroyables! Et ça n'est que le début! 🚀 💕 Petit moment d'émotion également en croisant les équipes de La France s'engage : un projet dont j'ai vu les prémices alors que je travaillais au cabinet de Laurence Rossignol! Le monde de l'engagement est tout petit :-) Félicitations à Sebastien Prunier Imaad ALI Maïté Merlot et longue vie Les Cuistots Migrateurs 👏

Au travail, il faut choisir ses combats. Généralement, vous êtes bon.nes dans ce que vous aimez faire. Vous travaillez avec plaisir, efficacité et facilité. Vous pouvez lever la tête de votre écran et réaliser que 3h se sont écoulées. C'est votre valeur ajoutée que certain.es appellent "𝗹𝗮 𝘇𝗼𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲". C'est ce qui vous rend unique. Souvent, vous ne vous en rendez pas compte car vous pensez que comme c'est facile pour vous, tout le monde sait le faire. C'est dommage car en n'ayant pas conscience de vos talents, vous pouvez passer à côté de votre vie professionnelle. J'ai ainsi l'exemple d'une cliente qui s'interdisait de travailler dans le domaine de l'écrit alors qu'elle adorait ça ! Quand je lui faisais remarquer qu'elle écrivait avec facilité des poèmes en alexandrins, elle me répondait "Mais tout le monde sait le faire !". C'est important d'identifier vos talents, pour vous mais aussi pour vos managers. Parce qu'en optimisant ce que vous aimez faire (et donc ce pour quoi vous êtes bon.ne.s) c'est gagnant-gagnant. 𝗖'𝗲𝘀𝘁 𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝘇𝗼𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲 𝗾𝘂'𝗶𝗹 𝗳𝗮𝘂𝘁 𝘁𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘁𝗼̂𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗱𝗲́𝗽𝗲𝗻𝘀𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗹'𝗲́𝗻𝗲𝗿𝗴𝗶𝗲 𝗮̀ 𝗲𝘀𝘀𝗮𝘆𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗮𝗺𝗲́𝗹𝗶𝗼𝗿𝗲𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗮̂𝗰𝗵𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗱'𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗿𝗮𝗶𝗲𝗻𝘁 𝗺𝗶𝗲𝘂𝘅 𝗾𝘂𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀. Par exemple, je ne sais pas faire de tableaux croisés dynamiques et je déteste ça. Je pourrais y passer des heures pour y arriver, me former, tout ça pour arriver à un résultat moyen. Je préfère revendiquer mon incompétence (heureusement ça n'a jamais été un incontournable de mes postes) et expliquer que je serais plus rentable ailleurs. Néanmoins, c'est parfois compliqué parce qu'on peut être bon.ne pour ce pour quoi on est payé.e mais ne plus y trouver du sens. En tant qu'acheteuse, je savais très bien négocier et suivre mes coûts au cent près, j'aurais pu continuer et gagner le triple car j'étais reconnue pour ça. Mais j'avais perdu le sens de mon travail. Tout cela, je ne l'aurais pas su sans le travail d'introspection nécessaire à ma reconversion. Désormais, ma zone de génie c'est écrire, écouter, créer, former et accompagner. 𝗘𝘁 𝘃𝗼𝘂𝘀, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝘇𝗼𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲 ?

L'ADIE recrute! Une chouette structure avec de belles valeurs, n'hésitez pas à dégainer vos CV! #iciçarecrute #alertecdi #jobalert

🔥 4 formats décoiffants qui ne vous donneront plus envie de regarder votre portable en réunion! 😮 En réunion, le temps consacré à la discussion doit être 3 fois plus long que celui consacré à donner de l'information ! Pourtant c’est rarement le cas et trop souvent, ces moments sont monotones et peu productif. Pour insuffler de la créativité et de l'engagement dans vos échanges professionnels, je vous invite à tester ces formats innovants: 1️⃣ Le Pecha Kucha : un format dynamique et concis où chaque intervenant dispose de 20 diapositives, affichées pendant 20 secondes chacune, pour partager ses idées de manière percutante. La durée totale est donc de 6 minutes et 40 secondes : idéal pour des présentations impactantes en un temps limité ! 2️⃣ Le World Café : une méthode de dialogue en groupe qui favorise les conversations approfondies et l'échange d'idées. Les participants sont répartis en petits groupes autour de plusieurs tables, chacune animée par un hôte et des ambassadeurs. Les ambassadeurs échangent leurs points de vue pendant un temps défini avant de passer à une autre table, tandis que l'hôte reste pour transmettre les idées précédemment discutées. Cela permet une exploration approfondie des sujets et favorise une diversité de perspectives. 3️⃣ Le Photolangage : une approche visuelle et créative qui utilise des images pour stimuler la réflexion et la discussion. Chaque participant choisit une image qui représente ses idées ou ses émotions par rapport au sujet discuté, puis partage ses impressions avec le groupe. Parfait pour encourager la créativité et la participation de tous les membres de l'équipe ! 4️⃣ Le Speed Dating : des sessions rapides d'échanges individuels où chaque participant rencontre brièvement plusieurs autres membres de l'équipe pour partager des idées ou discuter de sujets spécifiques. Cette méthode favorise les interactions dynamiques et la découverte de nouvelles perspectives en un temps limité. Et vous, les réunions c’est plutôt 🥱 ou 🤩 ?

☕ Aux Café Contact de l'Emploi® , tu viens comme tu es : pas besoin de diplôme ou de CV, homme, femme, non binaire, jeune ou vieux (non ça n'est pas une insulte)! 🙌🏽 Ici c'est l'humain avant l'algorithme! 🗓️ Une demi-journée avec des recruteurs qui pensent en dehors des cases et dans un lieu insolite, ça te dit? Le prochain a lieu le 23 avril à Noisy-le-Grand! 🤗 Très fière de faire partie d'une structure qui propose ce genre d'initiative innovante! 👏🏽👏🏽👏🏽 Bravo Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis et Simon Deryckx et toute sa team!

J'ai eu la chance d'accompagner Émilie dans le cadre d'un bilan de compétences et elle fait partie de mes belles rencontres ! Impliquée, experte et efficace, tout ça avec une bonne humeur à toute épreuve : je vous la recommande vivement pour vous accompagner dans la simplification de vos démarches administratives !